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 Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy

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MessageSujet: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyMer 5 Juil - 16:36

over the night
High off of love, Drunk from my hate. Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer. I suffocate and right before I'm about to drown. She resuscitates me, She fucking hates me and I love it


Je n’étais pas quelqu’un qui au premier abord semblait cool, enfaite, je ne pense pas être cool tout court. Il y a ses gens à la quête de réputation, ma vie toute entière a été vouée à la délinquance. J’ai toujours été ce petit voyou aux mœurs douteuses. Je n’ai jamais été très intelligent, j’ai toujours été cette petite frappe qui en avait marre de passer des heures à côtés des vieux qui n’avaient pas plus vécu la seconde guerre mondiale que moi. Arrêtez vos conneries, si on est sur cette terre c’est pour se faire du fric. Eh oui, faut se réveiller, c’est le capitalisme, bye les cocos et bonjour les chaussures Timberland à 500 balles. Mais les gars, faut pas oublier, faut vivre d’amour et d’eau fraîche. Mais quand on ne sait pas aimer ? L’eau fraîche ça se trouve où ? Vous savez quoi, evian et boobs ça me convient. Il est clair que je n’ai jamais manqué d’ambitions, mais ce n’était malheureusement pas ceux de mes foutus parents. Ils ne me comprenaient pas. Pour eux j’avais gravé sur mon crâne la croix à l’envers. Pour les emmerder je l’avais tatoué sur le corps. J’étais né pour les emmerder. Né pour faire tout l’inverse de ce que l’on me dit. J’ai l’air d’une petite frappe dit comme ça, d’un adolescent en pleine crise et pourtant… J’avais réussi. Du moins j’étais en train de réussir. J’avais tous misé sur mes conneries. Quitte ou double. Je n’étais plus seul. Ils étaient là, ces enfoirés, ces petits cons, mes frères. Ce n’était sans compter sur cette princesse déchue, cette blondasse au mascara prononcé. Cette écervelée qui avait le don de me taper sur les nerfs. Elle le faisait exprès. Je le savais. Et pourtant…
J’étais accoudé au bar déglingué, à parler au barman. Je reluquais chacune des filles qui passaient à côté. Quelques petites claques aux culs. J’attrapais mon verre de whisky que j’avais l’habitude de prendre avant de retourner à mon poste habituel, cette zone privée qui surplombait toute la salle. Installé dans ce vieux canapé en cuir qui à force avait pris la forme de mon cul, verre à la main et joint à la l’autre. Je matais cette petite nouvelle, cette gamine de 19 ans je crois, accroché à la barre, frottant son cul contre. Seins à l’air et se dandinait devant les clients absorbés. Je voyais le pognon qui allait entrer. J’étais plutôt content. Jusqu’à ce que cette pimbêche entre. Je soufflais en tournant la tête. « Qu’est-ce tu fous là encore ?! M’emmerde pas, ta dose est en bas. » Je grogne et me lève pour m’appuyer contre la rembarde et regarder le club vivre. « Putain, t’es encore là ? » Je tirais une tafe avant de lui tendre le joint, lâcher toute la fumé sur sa gueule et finir mon verre.

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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyMer 5 Juil - 17:26

over the night
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Le burlesque. Je me demandais bien pourquoi il avait choisi un nom pareil pour son lieu de débauche. Le burlesque c'était de l'effeuillage sensuel et travaillé pas du striptease vulgaire et très porté sur le sexe. En plus les danseuses burlesques devaient avoir des formes plantureuses hors de ce que je voyais sur scène, les filles faisaient au maximum un taille 36. S'il voulait s'attirer des clients pervers et débauchés il devrait revoir ça, mais bon ce n'était pas mon business comme il me l'avait si souvent fait remarqué. Qui ça ? Et bien le proprio lui même, ce cher emmerdeur d'Eli. Et encore, emmerdeur était un compliment pour son cas. Il savait faire chier le monde comme personne et moi qui était déjà une pro dans le domaine je savais de quoi je parlais. Je ne venais pas ici juste pour le plaisir, j'avais une course à faire et récupérer de la marchandise à revendre en faisait partie. Car en plus d'être un club de strip très ouvert sur les prestations, c'était l'endroit idéal pour se fournir en drogues diverses et variées. Nous avions le même fournisseur avec qui nous travaillons depuis des années et depuis qu'Eli avait ouvert son bordel je récupérais la marchandise au cours d'une de ces soirées. Je saluais d'un signe de tête les employés que je connaissais par habitude même si je ne m'étais jamais arrêtée pour leur parler. Ce n'était pas mon truc. Je ne m'attardais que quand le jeu en valait la chandelle. Juste me taper la discute n'avait aucun sens pour moi. Ça me faisait perdre mon temps et dans mon monde, le temps c'était de l'argent. Ouais je refourguais de la cam à des pauvres gens qui étaient complètement dépendants mais j'en avais rien à foutre. Tant qu'ils me payaient et qu'ils étaient réglo, ça se passait bien. Dans le cas contraire, je sortais les bras, les miens ou ceux de mes gars. Eli compris. Même si lui en particulier appréciait me faire chier quand les choses dérapaient.
Je ne mis pas longtemps à le repérer. Il était assis comme à son habitude dans son vieux canapé merdique en train de picoler et fumer. Je le rejoignis en quelques pas et son air grognon me donna envie de l'emmerder encore plus. "T'as pas baisé ce soir ou quoi ?" J'étais du genre agressive quand je parlais, surtout quand on m'accueillait de cette façon. Je fis un geste de la main pour éloigner la fumée qu'il me souffla à la figure. Maintenant le joint entre deux doigts, je m'accoudais à la rambarde et regardais la nana se déhancher sur scène. "Tu les prends de plus en plus jeune dis moi, un fantasme inavoué ?" Je tirais une taffe et appréciait l'effet immédiat que ça me procurait. Je n'avais répondu à aucunes de ses questions délibérément, histoire de le mettre dans l'ambiance. "T'es dispo pour un cassage de gueule ce soir ?"


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Dernière édition par Sybil McGuiness le Mer 5 Juil - 19:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyMer 5 Juil - 18:07

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Nous n’avions pas une relation très saine. De toute façon, avec qui avais-je une relation saine ? Probablement personne. Surtout pas dans cet endroit qui puait la perversion et vices en tous genre. De ma place je pouvais entendre cet avocat influant se faire tirer les couilles. Enfin façon de parler, je n’entends pas tout ça. Les chambre sont quand même un minimum bien feutré. Mais je m’imaginais aisément tout ce qu’il pouvait se passer ici. Je ne tenais aucun livre sur qui venait et aimait quoi. Ça me demanderait trop de temps. Vous avez vraiment cru que j’avais que ça à faire. J’ai beau avoir un beau bureau spacieux, je ne faisais autre que tester la marchandise avant de la jeter au milieu de ses baiseurs compulsifs. Bin ouais, vous vous doutez que je n’embauche pas une fille sans savoir son pedigree et voir si elles ne mentent pas. Je ne suis pas né de la dernière pluie non plus. Enfin presque…
Pour l’instant ce que je voyais de la petite me satisfaisais plutôt, du moins, jusqu’à ce que cette blondasse vienne y émettre ses petites réflexions. « Bah non figure-toi, j’ai les couilles pleines et ça pèse. » Elle voulait faire dans le vulgaire ? J’étais plutôt fort pour ça. Elle pourrait peut-être en entendre plus qu’elle ne le voudrait. Mais elle c’était joint à moi pour regarder le spectacle. « Oh pas seulement inavoué, McGuiness. » Je lui souriais perversement. « Mais t’inquiète, ta date de péremption n’est pas encore passée. » Je lui fais un clin d’œil tout en lui donnant une tape au cul. Je rattrapais le joint et le glissa entre mes dents tout en allant reposer le verre sur une petite table. Je me reposais sur mon canapé en grognant alors je la défiais du regard en lui faisant signe qu’elle me cachait la vue. « Bon ton joli cul de là, chérie, j’vois pas les boobs sauteurs de la petite. » Je tirais une tafe en me saisissant du joint. « Tient, je me ferais bien la petite ce soir. » Je me concentrais sur la scène avant que ne parle de baston. Bon. Il faut que je suis un mec, donc quand on me parle de retrousser les manches et exploser la gueule d’un gars, ça me met plutôt en joie. Mais là ça faisait chier. J’avais autre à faire putain. Elle ne pouvait pas allez voir ailleurs. « Quoi ? Encore ? Et les gants américains que je t’ai offerts ne te servent à rien ? » Je soupirais. « Putain. Ma demi-molle à prit la fuite là. T’as le don de me refroidir toi. » Je balance le joint dans un cendrier.



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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyMer 5 Juil - 20:04

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Eli était ronchon comme à son habitude, je ne m'en offusquais même plus tellement son humeur était fluctuante. Par contre je ne me la fermais pas comme ses employés, je lui rentrais dans le lard peu importait les conséquences. Quelques années plus tôt j'aurais pu me sentir vexée qu'il ne m'accueille pas à bras ouverts mais depuis le temps que je le connaissais je m'y étais faite. Je ne traînais pas avec des mauvais garçons pour qu'il me traite comme une princesse. Même si certains d'entre eux le faisaient tout de même. Après tout, j'étais la seule à ne pas avoir de truc qui pendait entre les jambes et pourtant ils savaient tous que j'en avais, des couilles ! "T'sais t'as une main au pire. Alors branle toi un coup et puis ça ira mieux." Utiliser des termes vulgaires et même parler de sexe ne me dérangeait absolument pas. Et puis aucun de nous n'avait fait d'études d'élocution donc merde on parlait comme on voulait. La petite qui se déshabillait était mignonne mais bien trop jeune à mon goût. Contrairement à celui d'Eli à parement. Je fis une moue de dégoût. Pas parce qu'elle n'était pas jolie, au contraire elle était mignonne dans sa vulgarité mais pour l'idée de voir mon pote coucher avec elle. Autant il était un putain de beau goss avec de putains de beaux yeux, autant je ne le voyais pas avec ce genre de filles. Je tournais la tête vers lui et continuai à le provoquer. "Ah ouais ? Développe." Je fis mine de vouloir le frapper même si ça n'en venait jamais là en nous. Mais je n'allais pas me laisser fesser sans rien dire pour autant. "Jte rappelle que t'es plus vieux que moi, du con." Il me vola le joint et je râlais tout en me tournant vers lui, me rendant bien compte que de là où il venait de s'assoir, il ne pouvait plus observer la scène. "T'as qu'à bouger le tien, de cul. Moi je suis bien là." Il renchérit en parlant de sa baise potentielle avec cette petite. Encore une moue de dégoût. "T'es qu'un sale pervers !" Bon finalement je lui demandais s'il était dispo pour casser une ou deux gueules et contrairement à ce que je pensais il n'était pas enthousiaste. Je haussais les épaules, l'air innocente. Je n'y pouvais rien moi si des connards me faisaient chier. "Jme suis refaite une manucure, j'aimerais la garder intacte encore un peu." Excuse totalement bidon bien entendu, je n'étais pas une fille superficielle. A part mes nombreux tatouages et ma couleur de cheveux parfois originale, je ne faisais chier personne avec mon physique. Je ris à la suite de sa phrase. "Quand ce sera fini tu demanderas à ta gamine de la réveiller." Je la désignais du doigt alors qu'elle terminait sa prestation. Les clients autour d'elle la noyaient sous les billets. Rien que pour ça j'aurais bien aimé tester cette sensation un jour. Avoir le contrôle sur le désir des mecs, les laisser miroiter monts et merveilles pour au final rafler leur fric et rien d'autre.


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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyJeu 6 Juil - 11:46

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Je n’avais jamais vraiment appris la politesse, ou j’avais juste toujours évité de l’être. Ça ne servait à rien et je l’avais appris au cours des années. Et puis, ce n’était pas dans ma nature. Je préférais me donner ce côté mauvais garçon vulgaire et imbu de lui-même. Le gars désespérant qui tape rapidement sur les nerfs si tu ne le connais pas. A vrai dire, j’en ai que faire de ce que l’on peut penser de moi, seul mes propres envies m’importent. Non mais franchement, tu crois vraiment que ta petite gueule m’intéresse ? Comme Seth Gueko le dit si bien dans l’une de ses chansons ‘j’me branle avec ton corps’. Y’a pas de sentiments dans tout ça. Te faire grimper aux rideaux, qu’importe, seul mon plaisir est l’aboutissant. Que t’en redemande je ne suis pas contre, sinon j’te forcerais. Bref y’a rien de classe chez moi. J’ai beau avoir une belle c’est pas pour autant que j’ai du respect pour qui que ce soit. « Après faut nettoyer, trop chiant, une chatte y’a rien de mieux. » Je la voyais réagir à ce que je venais de dire sur la petite. Bah quoi ? Qui n’a jamais fantasmé sur des jeunes ? Elle n’est pas si jeune que ça. Faut pas abuser. Je ne suis pas un pédophile quand même. Mais j’avoue que les petits jeunes au seins fermes et à la fougue des premières fois. Non mais regardez son petit cul, j’ai juste envie de le gifler. « Ca me rappelle ma jeunesse. Ces petites jeunes aux seins fermes qui ne sont jamais totalement rassasiées. » Je la contemplais de tout son long perchées sur ses talons beaucoup trop haut pour que ça soit confortable. On continuait dans notre lancé et j’en profitais pour lui donner une petite claque au cul, ce qui ne semblait pas lui plaire, son poing levé me le confirme. Je ne bouge pas. Je sais qu’elle ne le fera pas. Il y aurait trop de représailles pour qu’elle si tente. Je ne suis pas quelqu’un de très fino. « Ouais mais moi j’pourrais pas être ménopausée et puis, t’as vu ma gueule ? Sérieux, qui n’en voudrait pas. » Je faisais mon regard de bête assoiffée. Ce à quoi je me reposais confortablement sur le canap, jambes écartés, coudes posés et joint dans la bouche. Le seul hic : princesse me gâchait la vue. « Me force pas à me lever, tu vas le regretter, comme à chaque fois, parce que moi, je vais le bouger ton cul et pas de la façon dont t’aimerais. » Oh si je n’avais jamais pensé la fourrer ça serait mentir. On ne va pas se leurrer, elle est quand même gravement bonne. Mais je préférais parler de la petite, que je fourrerais certainement pour me vider. Elle me traite, ça ne me fait rien, à part esquisser un petit sourire. Il est clair que j’en était un et je ne m’en cachais pas. « Et t’aime ça, McGuiness. » Mais quand elle demanda de mon temps pour aller casser la gueule de pauvres glands, ça me saoule. « P’tain, t’es vraiment une gonzesse ! » Bon je savais qu’elle n’en avait rien à faire mais ça m’emmerdais. Je savais qu’elle pouvait se démerder et ça flattait pas du tout mon égo qu’elle vienne me demander de l’aide. « Ouais, y’a intérêt qu’elle soit bonne, sinon franchement, tu vas prendre cher. » Je me relevais pour voir comment la fin de son show se passait. « Mmmh du fric. Qu’est-ce que j’aime ce métier. » Je donnais un petit coup sur la rembarde. « Bon dépêchons nous, y’en a un qui est assez pressé. » Je la regardais un instant avant de descendre et me diriger vers le comptoir où je donnais un petit coup. « J’m’absente, si besoin portable. » J’aimais abrégé mes phrases et puis, de toute façon il avait l’habitude, c’est pas comme-ci j’allais régler d’autres affaires souvent… Je m’approchais de la gamine et l’attrapa par les hanches et approche mes lèvres de son oreille droite. « Pas de client ce soir, papa à faim… » Je lui faisais un clin d’œil et malaxa son cul avant d’y laisser une petite claque. Je la repoussais vers l’un de ses postes et me tourna. « Bon McGuiness, on s’touche ou …? »


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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyJeu 6 Juil - 16:53

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Qu'est-ce que ça pouvait être flemmard un mec sérieux ! Même pas il était capable de se soulager s'il en ressentait le besoin juste sous prétexte que c'était chiant à nettoyer. Il connaissait pas les capotes ou les mouchoirs ? Levant les yeux au ciel, je lui faisais comprendre qu'il me soulait avec sa remarque et qu'il n'aurait aucune compassion de ma part. "Démerde toi alors et arrête de râler. T'es pire qu'une gonzesse sérieux !" Nous les femmes nous étions réputées pour nous plaindre mais je pouvais témoigner que certains mecs étaient bien pire. Je détournais le regard lorsqu'il me fit l'éloge de la danseuse et de son âge. Je n'arrivais pas à comprendre comment il pouvait être attiré par un quasi bébé, c'était tout aussi incompréhensible lorsqu'un autre était attirée par une plus vieille. A croire qu'ils préféraient les extrêmes, en laissant pour compte toutes celles qui se trouvaient au milieu. Non je n'étais pas jalouse, j'arrivais facilement à trouver de quoi me rassasier, ça n'empêchait pas que je ne comprenais pas leurs attitudes. "Ouais sauf qu'à cet âge là tu sais à peine sucer alors baiser.. m'enfin c'est toi qui va finir frustré, moi je m'en fous" Encore une fois il me cherchait, comme si j'allais me préoccuper de mon sex appeal dans le futur, je n'étais même pas certaine d'arriver à quarante ans vu les merdes que je fumais et buvais. Je trouvais Eli un peu trop sûr de lui, ce n'était certes pas nouveau, mais j'avais une énorme envie de lui fermer sa gueule. "T'auras une queue molle à la place, c'est sûr que c'est mieux !" Même pas sûre que ça le dérange, après tout, une pilule bleue et c'était reparti.
Je continuais à le souler, me mettant volontairement dans son champ de vision pour l'empêcher de reluquer sa jeune pucelle. Sa menace me fit à peine hausser les épaules, poussant la provocation encore un peu plus loin. "Lève toi et tu la verras de toute façon mieux. Et t'approches pas de moi." Je le traitais de pervers, ce qui était un terme bien trop doux pour lui. Il était obsédé, vulgaire, goujat, égoïste.. bref tout le contraire du prince charmant. Ça tombait bien, je n'aimais pas les princes. "Qu'est-ce que t'en sais, de ce que j'aime ?" Ce n'était pas parce qu'il faisait partie de mes plus proches amis que je lui disais tout ni qu'il avait besoin de connaître certains de mes goûts. Surtout en matière de sexe. Je finis par en venir à la raison de ma venue et je m'attendais vraiment à ce qu'il soit plus enthousiaste que ça à l'idée de cogner un mec. Ce n'était pas le cas, il me le faisait comprendre et du coup ma mauvaise humeur augmentait et je fis tout ce qui était en mon pouvoir pour le faire chier un peu plus. Après avoir bien râlé, il finit par se décider à bouger et je le suivis. Je marquais une pause à hauteur du bar alors qu'il allait parler à la danseuse. Il lui claqua à son tour les fesses, à croire qu'il ne pouvait vraiment pas s'en empêcher et ça me mit encore plus de mauvais poil. "J'prends racine là jte signale. Arrête de jouer le pacha." Je sortis la première du bordel pour rejoindre ma moto. Je me tournais vers Eli. "Jt'emmène ou tu me suis ?" Je n'avais pas peur de transporter un homme à l'arrière mais son égo en prendrait un gros coup alors je savais déjà ce qu'il répondrait.



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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyVen 7 Juil - 11:44

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Elle me faisait sourire. Non mais franchement, qu’est-ce que je vais m’emmerder à me branler comme un adolescent alors qu’il y a pleins de petites prêtes à m’ouvrir leur cuisse contre un peu de ferveur. Je n’ai pas ouvert ce bordel pour regarder toute la journée ses gonzesses à poils sans en profiter un peu. Faut bien que je vérifie si elles savent toujours faire leur travail. Je ne vais pas non plus laissé des vierges effarouchés dégouter les clients de mon bordel. Il y avait un test d’entrée ici, faut pas croire que juste parce que t’es bien foutue et semble dévergondée. J’ai beau être feignant, sur ce genre de chose je prends quand même un malin plaisir. Non mais, à quel gars ça ne plairait pas de voir une fille se donner du bien en s’exclamant à gorge déployée. « T’as cru que j’allais me branler alors que y’a des petites pour me faire des pipes et gonzesse, franchement, tu n’dirais pas la même chose, ma queue dans ta chatte. » Je ne connaissais pas d’autre langage que celui de la vulgarité et je pense, que j’étais plutôt doué pour ça. Enfin, on était tous pas mal dans ce genre-là dans la bande. Sybil avait beau être une go, elle n’en était pas moins innocente.
J’explosais de rire. « T’as crue ? Franchement, je ne les prends pas à la volé, je test la marchandise et crois-moi, elles sont pas si innocentes. » Oh oui. Elle se débrouillait très bien la petite. Et puis, ce n’est pas comme-ci elles étaient lancées dans le grand bain sans avoir été suivi auparavant. C’est quand même tout un art, savoir crier, s’exclamer au bon moment, en faire des tonnes mais pas trop non plus, pour pas frustrer le client.
Elle se moque de ma possible impuissance quand j’aurais passé l’âge de baiser tous les jours ou presque. « Oh je crois que y’a des trucs pour ça, t’en fait pas pour moi. » Je lui faisais un petit clin d’œil tout sourire alors que je ne m’énervais pas pour fois à ses réflexions. Autant dire que j’étais plutôt comblé du petit numéro de la gamine. Sybil avait beau dire, elle était vraiment douée pour ça. Je lui enverrais un jour pour qu’elle le voit. Elle me demandait de ne pas l’approcher ? Franchement, chérie, je ne fais jamais ce que l’on me demande. Peut-être était-ce qu’elle voulait mais basta. Ce n’était que de la simple provocation quand je m’approchais un peu trop d’elle. « Oh tu sais, je peux allez loin, très loin. Mais ça tu le sais, chérie. » Autant y aller à fond.
J’avais été parlé à la petite avant de la relancer dans cette foule de baiseurs compulsifs. Je me retournais vers blondie avant de lui dire de bouger son cul. « Aller ta gueule et bouge ton cul. » Je me dirigeais vers la sortis. Je savais qu’elle le prendrait mal, enfaite, comme à peu près tout ce que je dis. « Ma caisse est sortie c’est bon. » Le chien était dehors dans un chenil. Je demandais à l’un des gars dehors de me ramener Nasty. Je ne me déplaçais jamais sans ma chienne pour ce genre de chose. Elle était quand même bien effrayante, surtout sans ça muselière. Je grimpais dans ma chevrolet et suivais blondie perchée sur sa moto jusqu’au dit lieu. J’avais sorti mes gants, j’aimais voir la chaire lacérée.



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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy EmptyMer 12 Juil - 21:22

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Il avait de la chance d'avoir une belle gueule parce que le ramassée de conneries qu'il débitait ne le mettait absolument pas en valeur. Et encore moi lorsqu'il insinua qu'il pouvait y avoir une infime probabilité que lui et moi soyons nus dans la même pièce. Rien que d'y penser j'en avais des frissons.  "1. Ça n'arrivera jamais, alors oublie. 2. Tu risquerais de plus vouloir aller voir ailleurs après moi, ce serait dommage pour toi !" Moi aussi je pouvais me mettre en avant, quitte à majorer un peu les faits. J'étais bonne au lit cependant, c'était ce qu'on disait en tout cas. Et comme il ne faisait que de parler de cul depuis tout à l'heure, je me demandais ce qu'il en était de lui.. sachant que ceux qui en disaient le plus, en faisaient le moins, non ? Je ne voulais pas poursuivre le sujet de ces midinettes qu'il enfilait aussi rapidement que l'éclair. Ça me dégoutait et je ne manquais pas de le lui faire remarquer. "Si tu le dis, je veux même pas savoir !" Je frissonnais en l'imaginant en plein acte avec une de ces filles. Je ne voulais pas penser à ça mais à force d'en parler c'était un peu compliqué de garder mon esprit au repos. Je ris en l'imaginant trouver des alternatives à un sexe mou, ce n'était pas prêt d'arriver d'après lui et j'étais persuadée que le moment venu, il serait un consommateur assidu. "Oh je ne m'en fais pas, ça m'est même totalement égal ce que tu fais de ta queue, du moment que tu épargnes mes oreilles avec tes récits !"
Encore quelques échanges de gentillesses puis il me suivit jusqu'à l'extérieur de son bordel. Le mec qui méritait qu'on lui casse la gueule était un drogué toxico qui n'avait pas payé sa dernière dose. En soi ce n'était rien de terrible, sauf que je lui avais accordé un mois de délai qu'il n'avait pas respecté. Puis il s'était fait la malle, en changeant de nom et d'adresse. Je venais de le retrouver et je comptais bien lui faire comprendre qu'on se foutait pas de ma gueule comme ça. J'attendis qu'Eli soit au volant de sa voiture pour démarrer en trombe. J'adorais la sensation que me procurait la moto, je me sentais libre et invincible. Il ne nous fallut pas longtemps pour attendre l'immeuble miteux où le mec avait élu refuge. Je garais ma bécane et posais le casque sur le siège. Je vis la chienne d'Eli s'approcher de moi, je n'avais pas peur d'elle mais je n'allais pas la caresser comme un caniche non plus. "Le gars s'appelle Mike. Il a changé de nom et se fait appeler Tim. Il me doit de la tune et s'est clairement foutu de ma gueule. Il m'a déjà échappé une fois, c'est pour ça que je t'ai demandé de venir en renfort." Je me dirigeais vers l'entrée de l'immeuble, il n'y avait pas de code à rentrer ni de sonnette. Je donnais un coup de pied dans la porte pour l'ouvrir, la colère m'aidant à me mettre dans mon rôle. J'aimais en venir aux mains, ça me permettait de me défouler et souvent on me prenait pour une fille frêle alors j'adorais encore plus voir le visage de ces mecs se décomposaient quand ils découvraient ce dont j'étais capable.


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MessageSujet: Re: Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy   Its like I'm huffing paint and I love it the more I suffer ¤ Princess Sysy Empty

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